Mon papa, il a un vélo...
(le titre de ce billet est cité en référence à un sketch de fernand Raynaud que j'ai en tête depuis toujours)
Un vélo n'est pas n'importe quel objet, je tiens à mon vélo c'est à dire que s'il fallait absolument choisir je préfèrerais qu'on me vole mon automobile plutôt que mon vélo, égarer mon ordinateur ça m'emmerderai mais perdre ma bicyclette serai peut être plus désagréable.
Une bicyclette est symbole de liberté, lorsque nous sommes arrivés sur le bassin ce fut immédiat achat de la maison et de deux bons vélos à assistance électrique, une évidence ! Chaque jour où il ne pleut pas j'utilise mon vélo, tellement plus simple que de garer la voiture, ici les pistes cyclables sont bien positionnées ici les mômes n'utilisent que peu de scooter, c'est vélo. Le choix du CC est le résultat d'un constat pouvoir embarquer les vélos dans la soute, comme d'autres utilisent une trotinette ou une one-weele.
Le tout premier vélo, mes premiers tours de pédalier et ma première chute sont gravés à tout jamais dans ma mémoire, ça fait mal ok, mais c'est bon je suis libre.
Sportivement je suis nul en vélo, jamais je n'ai été un grimpeur alors je descends de la selle et je pousse, peu importe je fais du vélo. La pratique du vélo est dangereuse... la vie est dangereuse ! Mon esprit divague à bicyclette comme en marchant, ce sont des allures, des prétextes à sourire à la vie, à saluer l'inconnu.
Un bon vélo est confortable, léger et silencieux. Un corps de femme délicatement posé sur une selle de bicyclette ça a vraiment beaucoup d'allure.